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Étoile d’Horizon - Avril 2019
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Défi de la visite de dépistage du gaspillage Travaillez plus intelligemment, et non pas plus fort! Page 15
Numéro 16, vol. 4 Avril 2019
Une publication pour le personnel du Réseau de santé Horizon
Pour l’amour du jeu Des thérapeutes de l’HRSJ d’Horizon créent un programme de parahockey pour donner à tous la chance de jouer au sport national d’hiver du Canada Page 5
Une mise en garde au sujet de la sucette au cannabis Page 6 Top 10 : Vos porte-bonheur Page 17
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Un programme de pédiatrie remporte un prix national Avez-vous visité la Chaîne d’info de la collectivité d’Horizon dernièrement? 12 11
Un jeune bénévole offre confort et compagnie aux patients de l’Hôpital régional de Miramichi d’Horizon
Une mise en garde au sujet de la sucette au cannabis
Des employés d’Horizon sauvent la vie d’un homme
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Des thérapeutes de l’HRSJ créent un programme de parahockey pour donner à tous la chance de jouer au sport national d’hiver du Canada.
Vingt ans d’excellence au Centre du sommeil de l’Atlantique
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Une possibilité d’apprentissage en ligne pour les employés d’Horizon Relevez le défi de la visite de dépistage du gaspillage! 15
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C’est si facile de dire Bravo! à horizonnb.ca
Partenaires dans la réussite : l’HRSJ d’Horizon et le NBCC de Saint John Lauréats du prix Étoile communautaire
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En page couverture : April Lambert, ergothérapeute, KristyMurray, physiothérapeute, ainsi queDanielleChase, Lynn Fletcher et TinaMeeg, ergothérapeutes, ont été photographiées dans les locaux des Services thérapeutiques de l’Hôpital régional de Saint John duRéseau de santéHorizon au début demars.
Dans chaque numéro Message de la présidente-directrice générale
Ce bulletin est publié par le Service des communications du Réseau de santé Horizon. Il est distribué gratuitement au personnel, aux médecins et aux bénévoles d’Horizon. La version française est offerte en ligne à l’adresse fr.horizonnb.ca. Rédactrice : GinaBeth Roberts Chef de la création : Hudson Creative Agency Impression : Advocate Printing Veuillez transmettre vos commentaires et vos idées d’article à [email protected].
Mot de la rédactrice Le coin des collègues Regardez qui brille Top 10
Pour l’amour du jeu : Un groupe de thérapeutes de l’HRSJ d’Horizon crée un programme de parahockey pour donner à tous la chance de jouer au sport national d’hiver du Canada
C’est une publicité de Canadian Tire diffusée durant les Jeux olympiques d’hiver de PyeongChang qui a incité Lynn Fletcher à se demander pourquoi Saint John n’avait-elle pas une ligue de parahockey. Dans la publicité, un père emmène son fils, qui est assis dans un fauteuil roulant, sur un étang où il l’installe dans une luge adaptée, pour jouer au hockey. Un an plus tard, cette inspiration est devenue une réalité : Lynn et quatre collègues des Services thérapeutiques à l’Hôpital régional de Saint John du Réseau de santé Horizon ont mis sur pied un programme de parahockey dans – et pour – leur collectivité. Fundy Para Ice Hockey est une association qui s’adresse à toutes les personnes de la région de Saint John, avec ou sans handicap, qui veulent jouer au parahockey (ce qu’on appelait ergothérapeute, et ses homologues Danielle Chase, April Lambert et Tina Meeg, ainsi que la physiothérapeute Kristy Murray. Ces dernières voulaient offrir une activité hivernale peu coûteuse aux membres de leur collectivité – une activité qui montrait aux gens qu’il y a encore moyen de rester actif même si l’on est malade ou handicapé. Le message transmis dans la publicité est le même que celui que le groupe souhaite véhiculer par la ligue : oui, n’importe qui peut jouer au hockey. Le parahockey n’est qu’une façon différente de le faire. Préparatifs hors glace Les membres de ce groupe ont des enfants qui jouent au hockey et certaines jouent elles- mêmes au hockey ou à d’autres sports. Pour la plupart, ces femmes sont « toujours à l’aréna »! anciennement le hockey luge). Le groupe a été formé par Lynn,
Chers membres du personnel, médecins et bénévoles, Depuis mon arrivée chez Horizon, il y a maintenant plus de deux ans, j’ai constaté une amélioration dans la façon dont notre réseau de santé est perçu par la collectivité et les médias. Sachez que je ne m’attribue pas le mérite de cette amélioration. Au contraire, c’est le travail que vous accomplissez chaque jour qui est reconnu et, à cet égard, je suis votre plus grande fan.
Mot de bienvenue de la rédactrice Bienvenue au seizième numéro de l’ Étoile d’Horizon! J’espère que la neige aura complètement fondu et disparu de nos rues, trottoirs et stationnements au moment où vous lirez ces lignes – là nous pourrons dire que le printemps est arrivé! Cette nouvelle saison nous insuffle un nouvel élan de détermination et d’enthousiasme au travail (et la promesse de l’arrivée imminente de l’été), car c’est le moment de faire germer votre avenir. Le moment pourrait être venu de planter des graines dans votre vie personnelle, alors que vous préparez votre sol pour votre potager, ce qui favorisera la croissance de fines herbes, de fruits et de légumes bons pour la santé. Ce pourrait aussi être le moment de planter des graines dans votre vie professionnelle, en investissant dans votre rôle d’employé au moyen de cours et de webinaires ou même en participant à un échange fructueux avec quelqu’un que vous venez de rencontrer. Vous voudrez peut-être pousser votre grand ménage du printemps plus loin et le transformer en visite de dépistage du gaspillage en vous inscrivant à une formation auprès de l’équipe d’optimisation du rendement et en participant à son concours pour courir la chance de gagner des prix fantastiques! De nombreuses personnes qui liront le présent numéro seront de nouveaux diplômés venant de se joindre à l’équipe Horizon avec de nouvelles perspectives et de nouvelles compétences. Des leaders chevronnés et expérimentés en matière d’apprentissage et de sensibilisation organisationnelle les accueilleront et les orienteront. Nous sommes au meilleur de nous-mêmes lorsque notre équipe se compose d’employés novices et d’employés chevronnés. Plusieurs articles portent sur de nouvelles recherches, de nouveaux programmes et de nouveaux visages. À la page 16, vous rencontrerez le nouveau président de notre Conseil consultatif des patients et des familles, tandis qu’aux pages 8 et 14, vous découvrirez de nouveaux éléments de soins de santé qui transforment l’expérience du patient pour le mieux. Il y a aussi des articles sur des équipes chargées d’histoire, comme le Centre du sommeil de l’Atlantique et les Services de bibliothèque, qui apportent depuis longtemps conseils et soutien aux patients, aux clients, à vous et à vos collègues. Pour la première fois, notre article vedette porte sur le bénévolat des employés d’Horizon. À la page 5, vous lirez l’histoire d’ergothérapeutes et de physiothérapeutes qui mettent à profit leur expérience professionnelle et personnelle pour faire connaître notre sport national d’hiver à tout le monde grâce à un nouveau programme de parahockey à Saint John. Comme toujours, c’est un honneur de présenter vos histoires, et j’espère que vous continuerez de me transmettre vos nouvelles idées à [email protected]. Bonne lecture!
Horizon a toujours eu une abondance de bonnes nouvelles à raconter. Je pense cependant que par le passé, il nous manquait les réseaux de communication – et peut-être la confiance – pour transmettre ces histoires directement aux membres de notre personnel et au public. Au cours des 16 derniers mois, le Service des communications d’Horizon a créé de nouveaux réseaux où diffuser nos histoires et souligner les exploits de nos employés. Nous sommes désormais actifs dans les médias sociaux; nous publions des histoires sur les soins aux patients dans la section Histoires d’Horizon de notre site Web; nous avons le bulletin Dans votre collectivité, qui traite du
Membres de la ligue Fundy Para Ice Hockey lors de leur première séance sur glace.
Elles ont rapidement découvert que contrairement à Fredericton, Moncton et Sussex, Saint John n’avait pas de programme de parahockey. Il y avait cependant des luges et d’autres accessoires de parahockey inutilisés dans les arénas partout en ville. Les membres du groupe ont commencé à se réunir à l’heure du dîner et après les heures de travail pour concevoir tous les éléments du programme – nom, logo, cadeaux promotionnels, commandite, publicité – et pour apprendre les règles du jeu et les horaires des arénas. La mise en œuvre du programme n’aurait pas été possible sans ses nombreux partenaires. Le groupe a reçu une subvention Allez NB! de la Direction du mieux-être du gouvernement du Nouveau-Brunswick et a travaillé en étroite collaboration avec Capacité NB, Para Nouveau- Brunswick, Hockey Nouveau-Brunswick, le programme Bon départ de Canadian Tire et la Ville de Saint John. Réussite sur la glace Avec le soutien de ces partenaires, le groupe a pu réserver des heures de glace, acheter des maillots et des cadeaux promotionnels et offrir gratuitement six séances « apprendre à jouer » en février et en mars. Après avoir annoncé le programme dans les arénas et les écoles, dans les médias sociaux et auprès de parties prenantes, le groupe a accueilli 30 joueurs âgés de 9 à 50 ans, y compris des duos père-fils, des groupes d’amis, des mères et des frères. Les participants, qui n’avaient besoin d’aucune expérience au hockey, étaient de tous les niveaux. Il y avait parmi eux des personnes handicapées et des personnes non handicapées. La première séance s’est déroulée dans le gymnase, où les joueurs eurent l’occasion de se familiariser avec des luges sur roues plutôt que sur lames. Ils durent également apprendre les règlements, dont plusieurs s’apparentent à ceux du hockey sur glace : cinq joueurs contre cinq, plus un gardien de but, et coup de sifflet pour
dégagement refusé et hors-jeu. Les pénalités, déclarées par les arbitres (qui sont debout), sont différentes. De plus, il est interdit de foncer dans un autre joueur avec sa luge (ce qui est assez difficile, car s’arrêter durant l’étape d’apprentissage consiste souvent à entrer en collision avec un mur ou un autre joueur). Et même si la majorité des accessoires sont les mêmes, le parahockey se joue avec une luge et deux bâtons de hockey modifiés, chacun doté à une extrémité d’un pic que le joueur enfonce dans la glace. Le groupe a invité le capitaine et le capitaine adjoint de l’équipe de parahockey de Fredericton, les Capitals, à animer sa première séance sur glace et c’est à ce moment que Tina s’est rendu compte à quel point ce sport est difficile. Elle a rapidement réalisé l’importance capitale de la combinaison de force du tronc et des bras, d’endurance, d’équilibre et d’une certaine intrépidité qui permet de faire confiance à deux lames étroites et à un petit siège. Elle fut inspirée par les adolescents moins craintifs qui se relevaient rapidement après être tombés, et rassurée par l’utilisation d’une paire de lames élargies durant le processus d’apprentissage pour que la luge soit plus facile à équilibrer. Même les novices obtiennent des victoires qu’ils n’auraient peut-être jamais crues possibles. Lynn se souvient du sourire au visage d’une jeune fille qui avait marqué son premier but – et deux mentions d’aide – durant un des premiers jeux simulés. « Tout le monde se ressemble », a dit Danielle. « Il est impossible de savoir qui a un handicap et qui n’en a pas. » « C’est ça la beauté de ce sport », a déclaré Lynn. Les liens avec le travail Jouer au parahockey, ça ressemble énormément à l’ergothérapie et à la physiothérapie en ce sens où il s’agit de régler un problème de fonctionnalité afin de donner à quelqu’un la possibilité de faire quelque chose.
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Karen McGrath Présidente-directrice générale travail accompli par Horizon pour améliorer la santé communautaire; et nous avons récemment créé notre tout nouveau réseau, la Chaîne d’information de la collectivité d’Horizon, où tous ces outils, y compris des vidéos, sont réunis dans un même lieu. Ces réseaux, ainsi que la présente publication, l’Étoile d’Horizon, nous permettent d’apprendre les uns des autres et au sujet de chacun. Dans une organisation aussi vaste que la nôtre, il est parfois difficile de sentir un lien d’appartenance avec les employés qui travaillent dans différents services et établissements. Ces réseaux de communication narrative nous permettent de poursuivre notre croissance en tant qu’organisation unifiée. Si vous avez des idées d’histoires qui pourraient intéresser les autres, n’hésitez pas à les suggérer à notre équipe des Communications. Si vous travaillez à un projet de recherche ou à un nouveau programme susceptible d’intéresser le public, Horizon aimerait beaucoup en parler. Chaque jour à Horizon, nous fournissons des soins sûrs et de qualité à nos patients, clients et familles. Ces personnes sont en grande majorité reconnaissantes des soins qu’elles reçoivent dans l’un ou l’autre de nos 100 établissements. De nombreux patients et clients se sont déjà demandé comment remercier de façon particulière une personne qui a rendu leur expérience de soins de santé moins mouvementée ou peut-être même agréable. Dans la foulée du succès du programme Bravo!, où les employés peuvent exprimer leur gratitude et reconnaître entre eux un travail bien fait, nous permettons désormais aux parents, clients et familles d’en faire autant. Même avant le lancement officiel de Bravo! au public, nous recevions à l’occasion des félicitations de l’extérieur. Offrir au public la possibilité de se servir du programme Bravo! est une étape très importante pour Horizon, car nous comprenons que la reconnaissance d’un travail bien fait inspire la fierté et l’engagement de nos employés et de nos médecins. Je me réjouis à la perspective de voir ces marques de reconnaissance se multiplier dans l’ensemble de l’organisation. Au moment où vous lirez ces paragraphes, ma tournée printanière sera en cours. Dans le cadre de ce forum, je vous demanderai de me donner vos idées pour le nouveau plan stratégique d’Horizon. Nous prévoyons dévoiler ce plan en 2020 et nous voulons recueillir les commentaires et suggestions du plus grand nombre d’intervenants possible. J’entrevois des discussions fort intéressantes! Finalement, ne soyez pas surpris si je vous invite à me suivre dans les médias sociaux! Après avoir vu l’engagement suscité dans les réseaux sociaux d’Horizon, je n’ai pas pu m’en empêcher! Suivez-moi sur Twitter (@KarenCEOHorizon), Instagram (@KarenMcGrathCEO) et LinkedIn. La présidente-directrice générale,
Première rangée, de gauche à droite : Lynn Fletcher et Tina Meeg, ergothérapeutes. Deuxième rangée, de gauche à droite : Danielle Chase, ergothérapeute, Kristy Murray, physiothérapeute, et April Lambert, ergothérapeute.
... suite à la page suivante En vue de futurs articles dans le cadre de cette chronique, nous vous invitons à recommander une personne - collègue, pair ou bénévole - qui a accompli quelque chose d’exceptionnel en dehors de son travail. Envoyez-nous un courriel à : [email protected].
GinaBeth Roberts Rédactrice, Étoile d’Horizon
Karen McGrath Réseau de santé Horizon
Coin des collègues
Des employés d’Horizon sauvent la vie d’un homme au YMCA
...suite de la page 4
Voilà ce que font ces ergothérapeutes et physiothérapeutes dans leur travail quotidien. « Nous avons toutes poursuivi des études afin d’aider les gens à être aussi autonomes que possible et je crois que cette initiative s’inscrit simplement dans ce même objectif », a dit April. Chacune occupée en soins actifs ou ambulatoires, ces thérapeutes travaillent avec des patients de tout âge, de la pédiatrie à la gériatrie. Elles donnent toutes sortes de traitements, allant de la gestion de la pression à la rééducation de la main, pour assurer que les patients ont les forces nécessaires pour rentrer chez eux. Elles collaborent aussi avec les médecins et les autres professionnels de la santé à l’élaboration de plans de congé et de transfert aux foyers de soins. Comme l’explique Lynn lorsqu’elle se trouve dans une soirée mondaine, « l’ergothérapie, c’est l’art d’aider les gens à se débrouiller ». Les ergothérapeutes et les physiothérapeutes travaillent souvent en étroite collaboration pour aider les gens à être autonomes et en sécurité à la maison. « La personne qui a un problème de santé doit rentrer chez elle et poursuivre sa vie », a-t-elle dit. « Elle doit travailler; elle doit s’occuper de ses enfants. Elle doit s’amuser et rester en santé. Notre rôle, c’est de l’aider à retrouver ces possibilités. » Ces thérapeutes aident les gens à s’adapter – par de petits ou grands changements – aux effets d’un problème de santé sur leur autonomie. Il s’agit peut-être de créer une nouvelle façon de préparer un repas ou de monter et descendre les escaliers, ou encore de trouver des façons d’adapter son domicile. « Il faut parfois beaucoup de Velcro et de ruban adhésif », a dit Lynn. Elles veulent aussi veiller à ce que leurs patients puissent demeurer actifs. « L’activité physique est quand même au cœur de nos croyances », a indiqué Lynn. « Nous voulons que nos patients puissent rentrer chez eux et être autonomes, actifs et en sécurité. C’est en étant actif qu’on maintient sa santé et c’est l’objectif qu’il faut vraiment viser au Nouveau-Brunswick. » L’avenir de Fundy Para Ice Hockey Au moment de la mise sous presse, l’avertisseur aura sonné la fin de la saison de parahockey, mais la ligue espère grandir l’année prochaine. On espère avoir des organisateurs, des entraîneurs et des joueurs qui veulent poursuivre le programme, adopter des heures de glace hebdomadaires et former une équipe. Les entraîneurs de hockey sont certifiés par Hockey Nouveau-Brunswick, et le parahockey tombe sous l’ombrelle de Hockey Nouveau- Brunswick et de Hockey Canada. Le groupe aimerait beaucoup s’associer à des équipes d’autres localités néo-brunswickoises pour jouer dans des tournois. Il voudrait aussi produire un athlète de calibre national. Si vous souhaitez être joueur, entraîneur ou membre de l’équipe de soutien de la ligue Fundy Para Ice Hockey, veuillez envoyer un courriel à [email protected] ou laisser un message sur Facebook (Fundy Para Ice Hockey). Vous pourriez aussi joindre votre ligue locale.
Une mise en garde au sujet des suçons au cannabis
La D re Alexandra Saunders n’aurait jamais imaginé qu’un suçon au cannabis l’aurait propulsée sur la scène nationale si tôt dans sa carrière médicale – mais c’est bel et bien le cas. Résidente en chef du programme de médecine interne de l’Université de Dalhousie à l’Hôpital régional de Saint John, elle avait manifesté un intérêt pour la cardiologie. Conscient de cet intérêt, le D r Robert Stevenson, cardiologue au Centre cardiaque du Nouveau-Brunswick, a demandé à la D re Saunders d’examiner le cas d’un Saint- Jeannois de 70 ans qui s’était présenté au Service d’urgence après avoir mangé un suçon au cannabis. L’homme, qui gérait bien sa maladie du cœur depuis plus de deux ans, montrait des signes de crise cardiaque ainsi que des hallucinations, car le suçon contenait un pourcentage élevé de THC. Le THC est le cannabinoïde responsable des effets psychoactifs du cannabis, c’est-à-dire de la réaction du cerveau et du corps à cette substance. La D re Saunders a téléphoné aux magasins de cannabis de la région pour se renseigner sur le niveau de THC contenu dans ce suçon. Elle finit par apprendre, en faisant des recherches en ligne, que ce suçon en particulier contient plus de 90 mg de THC. L’apport moyen de THC par consommation de cannabis est de 7 mg. Le patient de 70 ans n’était pas un habitué du cannabis; en fait, il en faisait l’essai pour la première fois dans l’espoir de mieux dormir et d’atténuer des douleurs arthritiques. En fin de compte, le patient a été traité et ses douleurs thoraciques ont disparu une fois les effets du THC estompés. Il a pu rentrer chez lui, mais pendant plusieurs mois, il a éprouvé plus de problèmes d’essoufflement et de manque d’énergie.
Ils ont fait plusieurs rondes de RCR et donné deux chocs avec le DEA avant que les ambulanciers paramédicaux arrivent et prennent la relève. L’homme a repris connaissance durant la troisième ronde de chocs, a commencé à respirer sans aide et a été transporté à l’hôpital où il a reçu d’autres soins. « Cet homme a eu de la chance », a dit Sarah. « Si l’incident s’était produit dans un endroit où il n’y avait pas de défibrillateur ou s’il avait été seul, les résultats auraient pu être très différents. » Une fois l’incident terminé, Sarah pensait qu’il avait duré une dizaine de minutes, mais avait quand même l’impression que ça avait été bien plus long. Elle a par la suite appris que seulement quatre minutes s’étaient écoulées. Sarah enseigne dans une salle de classe à l’école de technologie radiologique, mais elle a déjà participé à des codes en milieu hospitalier, où elle a aidé l’équipe en récupérant du matériel ou en consignant les incidents, surtout lorsqu’elle travaillait en imagerie diagnostic. Elle n’avait toutefois jamais fait de compressions thoraciques auparavant. « Il n’y a pas de chariot d’urgence, pas de médicaments, pas de médecins ou d’inhalothérapeutes… dans un lieu public, on n’a simplement pas accès à ces ressources », a-t-elle indiqué. Sarah croit que tout le monde devrait savoir faire la RCR (beaucoup plus difficile sur un
humain que sur un mannequin) et utiliser un DEA, qui, a-t-elle expliqué, est conçu pour les personnes qui ne sont pas des professionnels de la santé. Le chef de police de Saint John, Bruce Connelle, a été énormément impressionné par l’intervention de Sarah et de son collègue d’Horizon. « Bien que les employés d’Horizon soient tous les deux des professionnels de la santé qualifiés, il ne fait aucun doute que leur rapidité à évaluer la situation, à réagir et à prendre la situation en main a sauvé une vie. Comme vous le savez, dans des situations comme celle-ci, il est essentiel d’agir rapidement », a-t-il écrit dans un courriel envoyé au chef régional du personnel médical d’Horizon, le D r John Dornan. Le service de police a mis sur pied une commission de citation pour bravoure afin d’examiner la contribution des employés d’Horizon à titre de citoyens dans cette situation d’urgence. Au moment de la mise sous presse, l’examen était encore en cours. Pour autant que Sarah le sache, l’homme qu’elle a aidé s’est complètement rétabli. Durant la séance de débreffage sur l’incident, l’équipe du YMCA l’a informée que l’homme avait laissé une note écrite à la main et des fleurs au YMCA.
Le 13 janvier 2019 au matin, Sarah Cleveland était au YMCA de Saint John avec son mari et leur jeune fille. Elle marchait sur la piste au deuxième étage depuis une quinzaine de minutes lorsqu’elle s’est arrêtée pour parler à un ami de la famille. Elle ne savait pas à ce moment-là qu’elle se tenait à côté d’un homme dont elle aiderait à sauver la vie. Sarah est instructrice à la Saint John School of Radiological Technology. Avant d’occuper ce poste, elle avait été technologue en radiologie et en tomodensitométrie à l’Hôpital régional de Saint John et à d’autres établissements. Après son échange avec l’ami, elle a poursuivi sa marche et était de l’autre côté de la salle lorsqu’elle a vu l’homme par terre. Il était entouré de quelques personnes, dont un employé* d’un autre établissement d’Horizon. Étant une professionnelle de la santé, Sarah a voulu aider d’instinct. Elle s’est approchée de l’homme et a remarqué qu’il était allongé sous un support pour poids et haltères. Elle a immédiatement évalué la situation et vérifié les signes vitaux de l’homme pour découvrir qu’« il ne respirait pas et n’avait pas de pouls », a-t-elle dit. Pendant que quelqu’un composait le 911, un employé du YMCA est allé chercher un défibrillateur externe automatisé (DEA) et d’autres ont déplacé le support pour poids et haltères. Sarah a commencé les compressions et peu après, l’autre employé d’Horizon a activé le défibrillateur.
Le D r Robert Stevenson, cardiologue au Centre cardiaque du Nouveau-Brunswick.
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Depuis la légalisation du cannabis, on a beaucoup parlé des effets de cette substance sur la santé humaine, mais il reste encore beaucoup de zones grises. Les D rs Saunders et Stevenson savaient qu’ils devaient communiquer à la communauté médicale leurs constats sur les effets de la consommation d’aliments cannabiques sur les personnes ayant des antécédents de maladie cardiovasculaire. Puisque les aliments infusés au cannabis seront permis par la loi à l’automne 2019, la multiplication des recherches médicales est bien accueillie. Les D rs Saunders et Stevenson sont d’ailleurs devenus des experts dans ce domaine d’intérêt naissant. Ils sont coauteurs d’un rapport de recherche intitulé « Marijuana Lollipop-Induced Myocardial Infarction » récemment publié dans le Journal canadien de cardiologie, une revue médicale bien connue et réputée. « La marijuana peut être un outil utile pour bien des patients, surtout pour soulager la douleur et les nausées », a expliqué la D re Saunders. « En même temps, comme tout autre médicament, elle comporte des risques et des effets secondaires et il est important que les gens soient conscients des conséquences possibles. » L’article en question a suscité l’intérêt des médias partout dans le monde. « C’est vraiment gratifiant d’avoir fait partie d’une initiative qui a attiré autant d’attention dans la communauté médicale si tôt dans ma carrière », a affirmé la D re Saunders. Les résultats de cette recherche fournissent des renseignements importants que les professionnels de la santé peuvent transmettre à leurs patients au sujet des risques associés à la consommation d’aliments cannabiques. L’histoire de ce patient sert aussi de mise en garde pour quiconque veut faire l’essai de ce type d’aliment.
* La responsable de l’Étoile d’Horizon a communiqué avec l’autre employé d’Horizon qui a aidé à sauver la vie de l’homme, mais ses demandes d’entrevue sont restées sans réponse.
La D re Alexandra Saunders, résidente en chef du programme de médecine interne de l’Université de Dalhousie à l’Hôpital régional de Saint John.
Dans la photo, on aperçoit Sarah Cleveland, instructrice à la Saint John School of Radiological Technology, en classe au début de mars.
Voulez-vous renseigner vos collègues sur les services que vous offrez aux patients et au personnel dans l’ensemble d’Horizon? Écrivez à [email protected].
Un jeune bénévole offre confort et compagnie aux patients de l’Hôpital régional de Miramichi d’Horizon
Un changement révolutionnaire dans les soins aux diabétiques pour les patients d’Horizon
Le D r John Dornan, endocrinologue et chef régional du personnel médical d’Horizon, est toujours à la recherche de solutions pour réduire les complications dont souffrent ses patients diabétiques. Récemment, en travaillant avec Alicia Hunt, une patiente atteinte de diabète de type 1, il a reconnu l’incidence qu’un nouveau type de technologie de pompe à insuline pourrait avoir sur la vie d’Alicia. Cette pompe, que le D r Dornan appelle un « pancréas artificiel », imiterait les fonctions d’un pancréas sain. Après quatre semaines d’utilisation, la pompe avait dépassé les attentes d’Alicia. « Mon mari dit qu’il ne m’a pas vue en si bonne forme depuis des années », a-t-elle affirmé. « Je suis plus heureuse et je me sens mieux en tout point. » Le système de pompe à insuline MiniMed 670G a été conçu par Medtronic et approuvé par Santé Canada à l’automne 2018. Il s’agit de la première pompe à insuline qui fonctionne à l’aide d’un système en boucle fermée pour l’administration d’insuline basale. Cette année, à la fin de janvier, Alicia a rencontré le D r Dornan et Marilyn Heighton, une infirmière immatriculée qui est aussi éducatrice certifiée spécialisée en diabète, à l’Hôpital régional de Saint John, où on lui a appris à utiliser sa pompe. Alicia est l’une des premières patientes au Canada atlantique à
Le D r John Dornan qualifie de « pancréas artificiel » le système de pompe à insuline MiniMed 670G de Medtronic parce que celui-ci imite les fonctions d’un pancréas sain.
Robert Loggie est doté d’une sagesse et d’une maturité qui dissimulent ses 22 ans et qui découlent peut-être du fait qu’il sait, depuis sa plus tendre enfance, qu’il veut aider les gens de sa collectivité. Et voilà ce qu’il fait depuis une décennie. « Je fais du bénévolat auprès de divers organismes depuis l’âge de 12 ans. C’est une activité qui m’a toujours passionné », a affirmé Robert, un bénévole à l’Hôpital régional de Miramichi (HRM) d’Horizon. Robert connaît sa vocation depuis qu’il est tout petit : il veut devenir médecin. Le bénévolat l’aiderait non seulement à accéder à l’école de médecine, mais aussi à acquérir des compétences importantes. Il soutient que son motif premier pour faire du bénévolat, c’est la possibilité d’avoir une incidence modeste, mais significative, sur la vie des patients. Tous les lundis et mardis soir, plein d’enthousiasme, ce diplômé de l’Université Mount Allison passe quelques heures, parfois plus, à espérer avoir cette incidence. Qu’il s’agisse d’apporter une collation ou de socialiser et de jouer aux cartes avec les patients, dont certains en soins palliatifs, Robert est empathique et pleinement présent auprès des malades, ce qui, croit-il, compte beaucoup pour eux. « Certains patients ont simplement besoin d’une personne à qui parler et d’une oreille attentive », a-t-il indiqué. « Je pense que nous avons tous besoin de quelqu’un à qui parler, et ce n’est pas toujours possible pour les infirmières et les autres membres du personnel de passer beaucoup de temps individuellement avec les patients. » « Il est parfois impossible pour la famille et les amis du patient d’être physiquement présents 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et malheureusement, certains patients n’ont personne pour leur rendre visite. C’est ici que les bénévoles peuvent aider. » Robert raconte l’histoire d’une amitié qui s’était développée entre lui et une patiente aînée hospitalisée à l’HRM pendant plusieurs mois. Une des filles de la patiente lui avait mentionné à quel point il avait touché la vie de sa mère. Cette anecdote est loin de surprendre Lori Sabo, coordonnatrice du bénévolat à l’HRM. « Il a vraiment appris à connaître la patiente et ses intérêts », a-t-elle souligné. « Lorsqu’il a découvert qu’elle adorait le jardinage, il se faisait un devoir d’arriver tôt pour feuilleter les revues afin de lui en trouver une sur le jardinage. » « Ça m’a fait vraiment plaisir de savoir que
utiliser cette nouvelle technologie. « Nous rêvions de voir la création d’un
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pancréas artificiel de notre vivant, et le voici arrivé », a indiqué le D r Dornan. « Il s’agit de l’un des changements les plus révolutionnaires dans la prise en charge du diabète et ce sera sans doute un des événements les plus importants que j’observerai au cours de ma carrière. » Ce fut une journée remplie d’émotions et de larmes de joie pour Alicia et son équipe
Robert Loggie, 22 ans, est bénévole à l’Hôpital régional de Miramichi et espère « avoir une incidence modeste, mais significative, sur la vie des patients ».
Alicia Hunt, une patiente du Réseau de santé Horizon, porte son nouveau système de pompe à insuline MiniMed 670G de Medtronic. de soins de santé. Ce petit appareil allait transformer sa vie. « Je sais, au plus profond de mon cœur, que cette pompe augmentera mon espérance et ma qualité de vie », a souligné Alicia. Cette nouvelle technologie de pompe à insuline administre l’insuline automatiquement et de façon sécuritaire. Maintenant, la glycémie des personnes atteintes de diabète de type 1 n’atteindra pas de creux pendant le sommeil ou de sommets « Ma glycémie n’a pas été aussi bien contrôlée depuis aussi longtemps que je me rappelle. Je me sens bien et pleine d’énergie dès que je me réveille », a-t-elle dit. « L’autre jour, j’ai passé 90 % de ma journée dans ma zone cible, ce qui est un exploit remarquable en soi! » Alicia est heureuse de pouvoir mieux contrôler son diabète, ce qui lui permet de se concentrer sur ce qu’elle aime faire, comme être une maman et danser avec sa fille de trois ans. « Nous planifions des excursions de camping avec notre fille cet été et j’ai hâte », a-t-elle ajouté. « Je vais profiter de chaque moment que m’offre cette pompe. » dangereux au cours de la journée. Alicia en a déjà ressenti les bienfaits.
j’avais eu une telle incidence sur la vie d’une patiente », a dit Robert. Lori affirme que les employés le remarquent aussi. « Il est simplement formidable », a-t-elle dit. « C’est une personne pleine de délicatesse. Récemment, des collègues faisaient remarquer à quel point Robert est mature. Il semble être très bien dans sa peau, plein de confiance et déterminé. » Ce sont des qualités essentielles pour travailler auprès des patients, particulièrement ceux en soins palliatifs. « Bon nombre de ces personnes en sont aux derniers jours, voire aux dernières heures, de leur vie », a précisé Robert. « Si je peux leur tenir compagnie et leur apporter un certain soutien durant le temps qui leur reste ici, ça peut avoir un effet positif. » L’ampleur et la profondeur de l’expérience que Robert a acquise en faisant du bénévolat à l’hôpital ces dernières années concordent bien avec les objectifs futurs du jeune homme. « Je veux étudier en médecine; mais pour y être admis, il est très important de démontrer son implication communautaire. Il est bon aussi de pouvoir montrer aux écoles de médecine que vous savez dans quoi vous vous embarquez et que vous avez la médecine à cœur », a-t-il expliqué.
Lori, ainsi que les employés et les patients qui interagissent avec Robert, se préparent pour le jour où celui-ci annoncera inévitablement qu’il quitte l’hôpital pour poursuivre ses études en médecine. « Nous allons certainement lui souhaiter bon succès », a dit Lori, « mais nous espérons qu’il établira sa pratique à Miramichi et qu’il y restera. » Ce sont de gros « si », mais ce semble être un parcours possible pour les aspirations professionnelles de Robert, qui, pour la plupart, découlent de sa passion d’aider les autres par le bénévolat. Quelles que soient nos ambitions, Robert pense que nous devrions tous envisager de faire du bénévolat. « Le bénévolat peut aider les gens à acquérir des compétences importantes et des expériences utiles, peu importe leurs objectifs de vie », a-t-il affirmé. « Dans mon cas, le bénévolat à Horizon m’a rendu plus sûr de moi et plus heureux. J’ai aussi amélioré mes techniques de communication et de leadership. Le bénévolat est non seulement une activité enrichissante, mais aussi un geste de bonté à poser. » Si vous voulez découvrir l’expérience enrichissante du bénévolat chez Horizon, veuillez communiquer avec le Service des ressources bénévoles d’Horizon à l’hôpital de votre région ou envoyer un courriel à [email protected].
Le D r John Dornan, endocrinologue et chef régional du personnel médical chez Horizon, ainsi que Marilyn Heighton, infirmière immatriculée et éducatrice spécialisée en diabète, étaient tous les deux ravis de voir leur patiente, Alicia Hunt, recevoir un nouveau système de pompe.
La Clinique de la fonction cardiaque de Fredericton célèbre son premier anniversaire
Vingt ans d’excellence au Centre du sommeil de l’Atlantique
patients diabétiques devant être aiguillés. Les technologues du Centre du sommeil ont contribué à plusieurs programmes communautaires au cours des 20 dernières années, dont le programme de santé mentale Intensive Life Skills (PILS) du Centre de santé communautaire St. Joseph d’Horizon, le programme The ABZzzz’s of Sleep (à la bibliothèque publique de Saint John) du Centre de santé communautaire St. Joseph d’Horizon et une séance d’information sur le sommeil pour le Service de traitement des dépendances de Ridgewood d’Horizon. L’équipe a aussi donné des présentations sur le sommeil et d’autres conférences (trop nombreuses pour les énumérer) au cours des 20 dernières années. La recherche fait aussi partie intégrante du Centre de santé de l’Atlantique depuis 20 ans. La D re Morehouse a commencé à en faire dès la fondation du centre et le D r Sullivan lui a emboîté le pas lorsqu’il est entré en fonction en janvier 2005. Au total, 18 recherches ont été réalisées. Parmi les sujets abordés, mentionnons l’insomnie, l’obésité, le TSPT, la narcolepsie, le syndrome des jambes sans repos et la comparaison d’études du sommeil de niveau 3 (à domicile) aux études de sommeil de niveau 1 (études de référence en laboratoire). L’équipe du Centre du sommeil de l’Atlantique est composée de trois médecins : le D r Glen Sullivan (directeur), la D re Rachel Morehouse et le D r Graham Bishop (le D r Prakash Joshi a pris sa retraite en 2007); d’une coordonnatrice clinique et technologue-chef certifiée en polysomnographie, Holly Stuart (poste temporaire pendant le congé d’Andrea Savoy); de quatre technologues certifiées en polysomnographie, à savoir Barb Richard, Tracey Aylward, Janna Morin et Laura Woodhouse; d’une secrétaire, Wendy Hayes; et d’une réceptionniste, Kim Bailey. Nous remercions l’équipe du Centre de santé de l’Atlantique pour 20 ans de succès! Le Centre du sommeil de l’Atlantique invite tous les membres du personnel et du public à sa journée portes ouvertes le vendredi 10 mai, de 9 h à midi, pour une visite guidée et de légers rafraîchissements.
Le Centre du sommeil de l’Atlantique, situé à l’Hôpital régional de Saint John, célèbre fièrement son 20 e anniversaire. Le centre a ouvert ses portes aux patients le 5 février 1999 sous la direction de la D re Rachel Morehouse et de Terry Walker, gestionnaire et technologue certifiée en polysomnographie (RPSGT). Depuis, le centre a accueilli plus de 10 000 patients et a réalisé quelque 8 000 études du sommeil en laboratoire. Ces patients arrivent du Nouveau-Brunswick, de l’Île-du-Prince-Édouard, de la Nouvelle-Écosse et de Terre-Neuve-et-Labrador et sont âgés de 16 mois à 96 ans. Le 16 août 2005, le Centre du sommeil de l’Atlantique est devenu le premier centre du sommeil au Canada à obtenir l’agrément de l’American Academy of Sleep Medicine. Cet agrément était valide pendant cinq ans et le centre l’a renouvelé en 2010 et de nouveau en 2015. Le personnel a l’intention de maintenir l’agrément en permanence par ce processus de renouvellement. Le Centre du sommeil de l’Atlantique a organisé et animé la première conférence des techniciens du sommeil des Maritimes en mai 2005. Cette rencontre a attiré des technologues du sommeil, des inhalothérapeutes et des infirmières de partout aux Maritimes et leur a offert un forum de discussion et de perfectionnement sur les nouveautés dans le domaine du sommeil. Ce fut un travail énorme, mais les résultats dépassèrent les attentes. Le Centre du sommeil a organisé cette conférence de nouveau en 2007, et tous les deux ans par la suite à tour de rôle avec le centre du sommeil de l’hôpital Queen Elizabeth II, à Halifax, jusqu’à la tenue de la dernière conférence en 2011. En octobre 2017, le Centre du sommeil de l’Atlantique a lancé un programme d’études du sommeil de niveau 3 pour patients externes. Quelque 3 165 personnes y ont été aiguillées depuis. Le personnel collabore avec la Clinique d’insuffisance cardiaque de l’hôpital depuis de nombreuses années afin de repérer les patients qui doivent être dirigés vers le centre. En 2018, une collaboration semblable a été entamée avec la Clinique du diabète pour repérer les
La Clinique de la fonction cardiaque située au Centre Woodridge du Réseau de santé Horizon a récemment célébré sa première année à titre de fournisseur de services de soins et de soutien spécialisés et opportuns pour les patients atteints d’insuffisance cardiaque dans la région de Fredericton. Le personnel de la clinique, qui a accueilli ses premiers patients en janvier 2018, évalue et prend en charge les symptômes et les médicaments des patients en insuffisance cardiaque et encourage la modification des modes de vie ainsi que les comportements positifs comme l’alimentation saine et l’activité physique. Rachel Garland, l’infirmière immatriculée qui travaille à la clinique à temps plein, en est la pierre angulaire. Les patients en insuffisance cardiaque ont un taux de réadmission très élevé et 50 % d’entre eux risquent de mourir dans les cinq premières années suivant leur diagnostic. Cependant, s’ils sont pris en charge, ils peuvent vivre plus longtemps, avec une meilleure qualité de vie. Voilà pourquoi il est si important d’avoir une Clinique de la fonction cardiaque, où Rachel peut voir ces patients plus rapidement et leur offrir des soins spécialisés. « Nous travaillons pour nous assurer qu’ils comprennent bien leurs problèmes de santé et les mesures qu’ils peuvent prendre pour prévenir l’hospitalisation », a dit Rachel. Grâce aux relations étroites entre Rachel et ses patients, quand quelque chose ne va pas, Rachel s’en aperçoit. Elle aide alors les patients à modifier un peu leurs habitudes de vie (p. ex. diminuer les repas riches en sel) et
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Rachel Garland, Colleen Donnelly et Julie Harding sont photographiées dans le bureau de la Clinique de la fonction cardiaque au CentreWoodbridge du Réseau de santé Horizon. Le D r Jeffrey Moore était absent lors de la prise de photo.
à reconnaître les signes et les symptômes de diverses complications (p. ex. la surcharge liquidienne). Ce soutien et cette intervention précoce inspirent la confiance des patients, dont bon nombre aimeraient bien avoir eu accès à ce type de clinique beaucoup plus tôt. « Je connais plusieurs patients qui ont bénéficié de cette clinique », a indiqué l’infirmière gestionnaire Julie Harding. « Ils ont effectivement besoin d’être pris en charge par une personne qui sait ce qu’elle fait et peut leur épargner une visite au Service d’urgence parce qu’il leur faut peut-être simplement une légère adaptation du traitement médicamenteux et un suivi sanguin, ce que Rachel peut si bien faire. » Les patients en suivi remplissent le questionnaire du Minnesota sur la qualité de vie des patients atteints d’insuffisance cardiaque – qui fournit à leurs professionnels de la santé des renseignements sur les aspects subjectifs de leur vie, comme la dépression et l’anxiété – à l’accueil et six mois plus tard. L’équipe peut adapter le traitement de chaque patient lors de rendez-vous de suivi, d’appels téléphoniques et de séances de consultation avec l’infirmière et le médecin. Rachel collabore avec les cardiologues et les internistes qui orientent les patients vers la clinique afin d’élaborer les meilleurs plans médicamenteux et thérapeutiques possible. Ensemble, ils suivent un type de trithérapie très spécifique décrit dans les lignes directrices de la Société canadienne de cardiologie.
Rachel travaille également en étroite collaboration avec les cliniques de réadaptation cardiaque voisines, car toutes les cliniques se partagent des ressources comme le soutien administratif
et les services d’une diététiste et de professionnels d’autres disciplines.
On a déjà constaté une augmentation des résultats positifs et une diminution des hospitalisations pour les patients orientés vers la Clinique de la fonction cardiaque, un raccourcissement du séjour des patients hospitalisés et des économies générales pour le système de soins de santé. Du point de vue de la direction, Colleen Donnelly, directrice administrative du Programme de santé des femmes et des enfants et des cliniques de soins ambulatoires dans la région de Fredericton, a affirmé que le lancement d’une nouvelle clinique où le personnel et les patients sont en relation aussi étroite est extrêmement emballant et réjouissant. « L’incidence positive qu’a eue Rachel avec la Clinique de la fonction cardiaque est formidable », a dit Colleen. L’équipe s’est heurtée aux obstacles couramment associés à la mise en place d’un nouveau programme, mais a bénéficié du soutien des deux autres cliniques de la fonction cardiaque d’Horizon, situées à L’Hôpital de Moncton et à l’Hôpital régional de Saint John. Les six cliniques de la fonction cardiaque qui existent maintenant au Nouveau-Brunswick (dont trois à Vitalité) espèrent un jour établir un réseau et adopter des normes pour leurs programmes.
L’équipe du Centre de santé de l’Atlantique, représentée ici, célèbre 20 ans d’excellence en soins aux patients et en recherche. À noter que LauraWoodhouse était absente lors de la prise de la photo.
Partenaires dans la réussite : l’HRSJ d’Horizon et le NBCC de Saint John
Un programme de pédiatrie sociale remporte un prix national Ce programme a fait l’objet d’un projet pilote dans l’État de Washington, où il a obtenu de bons résultats, au début des années 1990. Depuis, il a été évalué, élargi et mis en œuvre s’est jointe à l’équipe à titre de pédiatre généraliste en 2009. Active en enseignement médical et en défense de la jeunesse, elle est directrice régionale de l’enseignement médical pour l’Université Dalhousie. Elle est l’une des dirigeantes du projet du centre
Un hôpital d’Horizon vient de recevoir le tout premier Prix du partenaire de l’industrie de son collège voisin en guise de reconnaisse de la relation longue et fructueuse entre ces établissements d’enseignement et de soins de santé. Le New Brunswick Community College (NBCC) est un moteur de prospérité économique et sociale au Nouveau-Brunswick depuis plus de quatre décennies. Les programmes, services et initiatives du NBCC appuient les aspirations des apprenants individuels, multiplient les possibilités du marché du travail et, en collaboration avec des partenaires, facilitent la résolution de problèmes au sein de nos collectivités et industries. Parmi ces partenaires figure l’Hôpital régional de Saint John (HRSJ) du Réseau de santé Horizon, le plus important hôpital de soins tertiaires au Nouveau-Brunswick. L’HRSJ fait équipe avec le campus de Saint John du NBCC dans le cadre d’une relation mutuellement avantageuse depuis de nombreuses années. « La relation avec le NBCC existe depuis la création des deux établissements », a affirmé Brenda Kinney, directrice administrative de la région de Saint John du Réseau de santé Horizon. « C’est une relation née de la nécessité : nous dépendons d’une main- d’œuvre préparée par le NBCC. » Les diplômés du NBCC dans les domaines des soins de santé, de l’administration et des métiers trouvent de l’emploi à l’hôpital depuis des décennies. Pendant leurs études, ils Le prix Étoile communautaire est attribué à une personne, à un groupe, à une entreprise, à une organisation ou à une collectivité qui participe à la promotion d’activités de prévention, de traitement ou de postvention des dépendances. Les lauréats du prix Étoile communautaire 2018 sont Rachel Mills (région de Miramichi), Ensemble Moncton (région de Moncton), Avenue B (région de Saint John) et Fredericton Housing First Services (région de Fredericton et du Haut de la Vallée). « Le Réseau de santé Horizon est heureux d’appuyer ses lauréats du prix Étoile communautaire parce que ce sont effectivement des étoiles », a déclaré Jean Daigle, vice-président aux affaires communautaires d’Horizon. « Qu’elles aient vécu une expérience ou soutenu des personnes qui avaient besoin d’aide, nos étoiles communautaires 2018 incarnent notre mission d’aider les gens à être en santé en permettant à de nombreuses personnes de surmonter des obstacles et de s’outiller pour l’avenir. » Le prix Étoile communautaire est parrainé par le ministère de la Santé. Une fois par année, soit durant la Semaine nationale de sensibilisation aux dépendances, chacune des régions d’Horizon et de Vitalité sélectionne un lauréat communautaire qui fait la promotion des modes de vie sains et cherche à réduire le risque de dépendance dans la population en général.
avec succès dans des dizaines d’autres endroits aux États-Unis et au Canada. « Il a été prouvé que les enfants qui vivent avec des disparités sociales, des traumatismes et un stress toxique éprouveront un nombre disproportionné de résultats négatifs en santé physique et mentale au cours de leur vie », a expliqué la D re Gander. « Cette constatation a donné naissance au domaine de la pédiatrie sociale communautaire, qui cherche à améliorer la santé au niveau communautaire et à répondre aux besoins des enfants et des familles d’une façon qui respecte le contexte social de leur vie, de leur collectivité et de la société. » À propos de l’équipe Native du Nouveau-Brunswick, la D re Sarah Gander s’est établie à Saint John, où elle élève ses deux garçons, Eddie et David, avec son mari, Steve. Sarah a commencé sa pratique de pédiatrie en 2008 après avoir terminé ses études à Terre-Neuve-et-Labrador et à Kingston, en Ontario. Elle est chef clinique de l’Unité de pédiatrie à Saint John et responsable d’une pratique clinique achalandée. Elle enseigne à la fois à l’Université Dalhousie et à l’Université Memorial de Terre-Neuve. Elle a terminé sa maîtrise en éducation en 2016. Elle s’investit dans de nombreux organismes communautaires voués à l’amélioration des soins aux familles et aux enfants. Originaire de Summerside, à l’Île-du- Prince-Édouard, la D re Marianne McKenna
d’appui aux enfants, qui propose des services holistiques multiples pour les enfants que l’on soupçonne être victimes de mauvais traitements sexuels. Marianne siège au conseil du réseau d’intervention pour la grossesse chez les adolescentes et est responsable du stage clinique au choix en pédiatrie sociale du programme de médecine de l’Université Dalhousie au Nouveau-Brunswick. Originaire de Saint John, la D re Annie Murphy- Savoie est retournée à sa ville natale après avoir terminé sa formation en pédiatrie développementale avec spécialisation en troubles du comportement et du développement à l’Université Memorial et à l’Hôpital pour enfants malades de Toronto. Elle a une pratique à l’Hôpital St. Joseph du Réseau de santé Horizon et continue activement à faire de la recherche et à défendre les droits des enfants dans la communauté afin d’assurer les meilleurs soins possible pour les enfants du Nouveau- Brunswick. Annie a joué un rôle important dans la mise sur pied du centre de la petite enfance du quartier sud de Saint John, qui accueille les enfants de l’un de nos quartiers cibles. Les membres de cette équipe de pédiatres et chercheuses s’investissent dans l’amélioration des résultats à long terme sur la santé et la vie sociale de nos enfants. Leur engagement et leurs liens solides dans la collectivité sont les pierres angulaires de la pédiatrie sociale communautaire au Nouveau-Brunswick.
Une initiative d’Horizon conçue pour aider les enfants et les familles sur le plan de la vie sociale, communautaire et sociétale a obtenu une subvention nationale. Les fonds serviront à aider davantage les familles aux prises avec des problèmes de dépendance. New Brunswick Social Pediatrics (NBSP) (pédiatrie sociale du Nouveau-Brunswick) est une initiative relativement nouvelle mise sur pied pour améliorer la qualité de vie, la santé et les résultats à long terme des enfants et des familles de notre province. L’équipe, qui travaille à l’Hôpital régional de Saint John du Réseau de santé Horizon, est dirigée par les D res Sarah Gander, Marianne McKenna et Annie Murphy-Savoie et appuyée par Sarah Campbell, gestionnaire de la recherche, et Kathryn Flood, coordonnatrice de la recherche. En février, la section nationale canadienne d’IODE Canada a accordé une subvention de 25 000 $ à NBSP pour la mise en œuvre du programme Strengthening Families (renforcer les familles). Ce programme s’adresse aux familles à risque élevé qui luttent contre des problèmes de dépendance dans la région de Saint John. Il fait appel à des techniques de thérapie parent- enfant et se concentre sur les interventions, l’enseignement de techniques parentales efficaces et l’acquisition, par le jeu interactif, d’aptitudes qui pourraient aider les enfants à réduire leur risque relatif à des troubles de comportement et de dépendances futures. « La clé du succès de ce programme, c’est qu’il met l’accent sur l’ensemble de la famille », a affirmé la D re Gander. « Il est considéré comme un programme pouvant transformer la vie des familles vulnérables, car il offre un encadrement pour les parents et un repas pour la famille, en plus de simuler un milieu familial sain et positif. » Dix familles participeront à ce projet pilote de 14 semaines cet automne ainsi qu’aux séances de suivi offertes 6 et 12 mois plus tard. Le projet phare de NBSP est le Parent-Child Assistance Program (PCAP) (programme d’aide aux parents et aux enfants), un programme de trois ans visant les femmes qui consomment des drogues ou de l’alcool durant la grossesse. Il a pour but d’aider à briser le cycle de la pauvreté générationnelle dans nos quartiers prioritaires. Le PCAP est conçu spécialement pour répondre aux besoins des femmes qui sont enceintes ou qui ont récemment accouché et qui ont des problèmes d’alcoolisme ou de toxicomanie. L’équipe de l’initiative New Brunswick Social Pediatrics. De gauche à droite : Sarah Campbell, D re Sarah Gander, D re Marianne McKenna, D re Annie Murphy-Savoie et Kathryn Flood.
De gauche à droite : Chris London, conseil des gouverneurs du NBCC; Brenda Kinney, directrice administrative, région de Saint John, Réseau de santé Horizon; et Marilyn Luscombe, présidente-directrice générale du NBCC.
bénéficient aussi des ressources de l’hôpital, des expériences de stage, des appareils donnés par l’hôpital pour la formation et des services de soutien en recherche appliquée. « La recherche appliquée au NBCC a vraiment pris de l’ampleur au cours des 10 à 15 dernières années, ce qui a entraîné l’établissement d’une excellente relation entre le NBCC, l’Université (du Nouveau-Brunswick, campus de Saint John) et l’HRSJ à titre de laboratoire vivant », a poursuivi Brenda. « Notre emplacement à tous les trois, ici dans le parc Tucker, a vraiment ouvert la voie à de nombreuses possibilités de collaboration. »
Pour célébrer le partenariat entre le collège et l’hôpital, le NBCC Saint John a décerné son tout premier Prix du partenaire de l’industrie à l’HRSJ. Ce prix reconnaît le soutien constant et particulier accordé par l’hôpital aux apprenants et aux anciens du NBCC. « Nous sommes ravis de recevoir ce prix », a indiqué Brenda. « C’est une merveilleuse marque de reconnaissance d’un partenariat très important dont les avantages sont réciproques. Nous sommes très heureux de faire partie de ce partenariat avec le NBCC. » * Cet article a été légèrement adapté (et traduit) de sa version originale, publiée sur le site Web du NBCC.
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Les lauréats du prix Étoile communautaire aident les gens à surmonter des obstacles et à s’outiller pour l’avenir Les lauréats du prix Étoile communautaire 2018 sont de véritables phares dans leur collectivité.
Miramichi
Fredericton
Charlotte Pickford (à gauche), gestionnaire de programmes, Services de traitement des dépendances et de santé mentale d’Horizon pour la région de Miramichi, et Rachel Mills (à droite)
De gauche à droite : Mike Ryan, coordonnateur à Housing First; Bruce MacPherson, directeur des Services de traitement des dépendances et de santé mentale d’Horizon pour la région de Fredericton et du Haut de la Vallée; et Shelby MacIntyre, coordonnatrice à Housing First.
Avez-vous visité la Chaîne d’information de la collectivité d’Horizon dernièrement? Sinon, vous ratez l’occasion de découvrir de merveilleuses histoires d’Horizon racontées en paroles, en photos et en vidéos. Découvrez la chaîne d’information communautaire à nouvelles.horizonnb.ca. Avez-vous une histoire à raconter? Nous sommes toujours à la recherche de nouvelles voix et de nouveau contenu. Si vous avez une histoire à raconter sur la Chaîne d’information de la collectivité, veuillez envoyer un courriel à [email protected] ou composer le 506-850-5731.
Moncton
Jill LeBlanc-Farquharson (au centre), directrice des programmes, Services de traitement des dépendances et de santé mentale d’Horizon pour la région de Moncton, et DebbyWarren (à gauche), directrice générale d’Ensemble, en compagnie de leurs collègues. Horizon félicite ces précieux partenaires communautaires.
Saint John
Susan Neal et Renée Fournier, gestionnaires des Services de traitement des dépendances et de santé mentale, présentent le prix de Saint John à Julie Dingwell, directrice générale d’Avenue B. Elle est accompagnée de membres du personnel et de clients.